L'invasion

Nous fûmes reçu par la princesse de Celobia, alors qu'elle avait déjà fait appeler un autre soldat, un assassin à la solde de la Princesse, nommé Shogun Nagato, l'un de ceux que nous avions sauvé lors de notre dernière expédition.

Elle savait déjà le grand trouble que causait une guilde de voleur et de brigands au sein même de Celobia, mais un autre problème bien plus important que le précédent menaçait Celobia.

L'année précédente ayant été proche de la disette, les greniers était presque vide et la famine menaçait la ville. Il serait catastrophique si les ange de l'honneur venait à assièger la ville. Pour le moment ce n'est heureusement pas le cas, mais Les culture maraichère se trouvant dans le bois et les orées de celui-ci se trouve menacée non pas par les anges de l'honneur, mais par des animaux dont d'après les dires des cultivateur les plus reculés, dont les fermes avaient déjà subis les assaut de cette engeance néfaste, la terre s'ouvrais devant eux, les marais gelais et parfois même l'atmosphère devenait brumeuse et irrespirable.

"Cette engeance ne doit pas avancer au delà de l'avant poste tenu par le sergent Kalin. Si celui-ci n'est pas en mesure de tenir la position et tente de battre en retraite,destituer le de ses fonctions et prenez le commandement des survivants. Soyez sans pitié, que ce soit envers vos adversaires mais aussi envers les déserteurs. Rompez." déclara le Maréchal Deron, chef de la garde rapprochée de la princesse.

A ce moment, nous quittâmes la salle du trône et nous rassemblèrent dans le couloir pour faire la connaissance de celui qui sera notre équipier lors de cette mission.

- Excusez-moi pour le retard, j'ai dut remplir pas mal de paperasse d'adhésion au sein du groupe.

Je trouvais Hisato (le grand au cheveux rouge, je suppose) plutôt d'un air à la fois sympathique et terrifiant.
Athenir (l'autre homme, logiquement) avait plutôt un air mystérieux.
Quand à Azraël, elle devait s'être prit une sacrée raclé vue le nombre de bleu sur son visage.
Tous avaient l'air étonné de voir un ninja.

- Bon, alors je pense que je vais me présenter si les autres l'ont fait.

détestant les présentations, je pris une longue respiration et m'élançais.

- Je suis Athenir y Solando, mais tout le monde semble éclipser le "y" qui se trouve être la dernière chose qui montre que je suis de sang noble.

Voyant dans le regard de mes congénères que cela ne leur suffisait pas, je repris une respiration et repris de plus belle.

-Sinon je suis mage de feu et forgeur de runes. Je combat généralement avec mon pouvoir que j'extériorise sous la forme d'un serpent. Sinon, je déteste quand on m'interromps dans mes travaux, sauf si le sujet est plus important que mon travail.

Ils se présentèrent tour à tour.

-Je suis Shogun Nagazo, Mon style de combat est plutôt rapide. Je fonce en silence sur ma cible en silence et toute discrétion. Après ça, je me replie rapidement sans que l'on s'aperçoit de rien. Je me plirais à tes ordres, Hisato. Je n'aime pas vraiment faire souffrir les gens sauf nécessaire, comme la trahis mon expression, tout à l'heure. Je suis sans pitié face à mes adversaires.Je maîtrise l'air, ce qui me permet aussi bien de sauter à des hauteurs forçant le respect, de dévier les projectiles adverses et de très bien esquiver, que de projeter mes adversaires ou de leurs envoyer de petites tornades. je m'entraine dur pour passer maître dans mon élément.

A leurs tête, je deviner que je leurs convenaient.

-Que diriez-vous de nous mettre en route ?

Nul ne fit objection et le quatuor alla au bout du couloir et descendit l'escalier principal.

l'escalier principal relie les sept étages de la citée troglodite (citée creusée dans la falaise) de Celobia. Nous descendîmes donc quatre étages en passant, bien entendu, devant nos appartement pour prendre le reste de notre équipement et faire les dernière préparation comme se teindre les cheveux pour Hisato ou stocker grâce à mon pouvoir les ouvrages et autres objets de valeurs qui me restait, craignant trop que lors de notre absence les brigands ne reviennent prendre ce qui restait.

Après nos cavales de dernières minutes, achetant provision pour le voyage et autre objets utiles, nous aboutîmes à la porte de la ville. les champs sablonneux où paissaient le bétail de riches Célobian s'étendait devant nos yeux et au delà, sombre sous ses hautes ramures, se tenait la grande forêt que nombreux appellent la "forêt sombre". une route dallée en ses débuts puis maigre chemin de terre par la suite serpente et se subdivise pour relier les différents forts et fermes qui occupe la forêt jusqu'en son centre.

Nous devions atteindre le fort tenu par le sergent Kalin, il se trouvait dans le nord au pied des contreforts des montagnes de l'ouest a un grand nombre de jour de marche (au maximum une semaine si les dieux ne nous favorisent pas), au minimum deux jours si nous y allions par la voie des airs.

- Le trajet semble fort long et le temps nous certainement compté car le fort du sergent Kalin pourrais tomber face au monstres a n'importe quel moment et qu'il faut considérer la mission en échec si il parviennent à le dépasser. Je propose donc que, vu que vos familiers sont tous ailés de rejoindre Le fort en survolant la forêt. Le seul problème viendrait que mon familier n'étant pas une monture ailée Je dois être pris en passager par l'un de vous, qui aurais la bonne amabilité de m'accepter derrière lui?

Pendant qu'Hisato récitait son incantation, je préparais mes armes aux combats futur, tout en observant la forêt.

-Je comprends pourquoi on l'appelle la forêt sombre; c'est carrément la nuit là dessous !

mes armes prêtes, je consacras les dernière minutes qui me restais pour m'entrainer à la maîtrise de l'air.

Alors qu'Hisato psalmodiait sa longue et puissante supplique invocative, J'observait un court instant mes autres compagnons. Azraël, aimait faire grandir des stalagmites de glace, les voir s'éroder au fils du temps pour ensuite troubler la trame du réel en les retournant à leur aspect d'antan.

Dans un coin sombre au bord du porche, Le shinobi préparait ses armes, les aiguisant du mieux qu'il pouvait pour qu'il puisse fendre jusqu'à l'air même ou puisse l'entraîner avec lui pour créer des courants d'air meurtrier.

alors que les citoyens entraient et sortaient de la ville, Je prit un ouvrage sur "l'équilibre entre les quatre magie élémentaire au sein de tout être vivant ou mort", parlant des quatre magies et les influences possibles entre celles-ci.

et le temps passa, où chacun vaqua à ses occupations attendant le dragon d'Hisato.

Enfin, je vis le dragon d'Hisato.

-J'ai rarement vu une créature de cette taille.

Nous nous sommes mi en selle et nous partons donc pour le fort du sergent Kalin.

J'appelais mon hippogriffe, histoire qu'il se dégourdisse les ailes.

-Fantôme ! Viens là ! vol un peu sa va te faire du bien.

Mes compagnons été admiratifs. C'était la première fois qu'il voyait un hippogriffe.

-Voilà Fantôme. Il peut paraître petit, mais il est tout aussi fort que n'importe lequel de ces congénères.

- Est-ce à cause de Teop et de Kuroryu que ton Hippogriffe s'agite comme un forcené ? Il va finir par blesser quelqu'un, sinon lui même !

-Je sais Azraël, mais Fantôme à la phobie de plus gros que lui et sa le pousse à vouloir tué ces animaux.

Fantôme semblait vraiment vouloir les déchiqueter ! Je ne l'avait jamais vu dans un état pareil. D'abitude, il se contente de grogner.

-Fantôme ! Ce sont nos amis, donc aussi les tiens ! Calme toi, sinon je te renvoie à l'écurie et tu ne reverras pas le ciel de si tôt.

Fantôme commença à se calmer. Je lui caressa la tête.

-Je sais bien que tu ni est pour rien, mais parfois, on dirais que tu est vraiment décider à tuer tout le monde.

Fantôme se calma définitivement et j'ai mème eu l'impression qu'il présenter ses excuses à Kuroryu !

le voyage se déroulait bien. "Bien", façon de parler. Il me semble qu'il y ai eut une sorte d'animosité entre Kuroryu et Shadow qui aurait pu mettre à grand mal notre expédition. Heureusement Shogun retint son hippogriffe et tout revint dans l'ordre.

Alors que Je me replongeait dans mon livre sur " l'équilibre entre les quatre forces magiques élémentaire ", ouvrage très intéressant qui m'offre de nombreuses nouvelles manières d'utiliser ma maîtrise du feu. J'allait reprendre ma lecture où je l'avait laissé quand une puissante bourrasque de vent m'arracha l'ouvrage des mains et sans un réflexe presque inné le livre aurait été emporté par les vent pour atterrir on ne sait où. En effet, sentant le livre échapper a mon emprise, je le fit téléporter dans l'univers artificiel qui me tient de collier.

- Les nuages n'indiquait aucun trouble aussi grand que celui-ci. une magie est à l'oeuvre, c'est certain.

voyant que la ramure des arbres n'était pas secouée par un tel vent, il me vint une idée.

- Hisato, fait raser les arbres à ton dragon, le vent y est moins fort.

Se retournant alors vers Shogun:

- Toi qui contrôle l'air qui nous entoure, pourrait tu nous donner des vents favorables car nous somme en besoin de temps et le climat ne nous avantage pas.

Alors même que je disait ces mots, Il me vint une autre idée.

- Azraël, toi qui nous a montré que le temps et son contrôle ne t'est pas étranger, pourrait tu faire sans trop t'épuiser que les minutes soient des heures ou que les heures ne soient que des minutes?

Alors qu'Hisato, approuvant mon idée, faisait descendre Kuroryu aussi bas que possible, Je laissait Mes deux autres compagnons pensif, certainement en train de préparer mentalement les sort qu'ils allaient utiliser.

les hostilités avaient déjà commencé, cependant c'était nous contre nous même...
fantôme, l'hippogriffe de shogun, à un gros complexe d'infériorité, et aurai voulu tuer mon kyroryu. Tout ceci me fessai bien rire car c'est la petite bête qui cherche la grosse. Et en plus, si le combat avais réellement eu lieu, je pense pas que ce soit mon dragon qui soit en désavantage... mais plutôt nous en temps que passagers.

Le vent était fort et nous avancions à peine, Athenir me signal que le vent l'est moins plus bas au ras des arbre.

Bien vu! à tout les passager, veillez bien vous accrocher, et surtout pas sur les écaille de kuroryu sinon il aura mal... et ce sera à nos risque et péril!

je commence à prendre un peu d'altitude et pique une tête à 90° on était totalement à la vertical. je redresse en suite et nous sommes en rase motte. Pour que nous ne soyons pas repairé, kyroryu était devenu invisible. nous l'étions également.

bon écoutez bien, je ne vais pas récupérer ceux qui tombe car premièrement je ne les vois pas, et deuxièmement, vous aurais tout vos chance et être rattraper par votre familier, et qu'ils nous perdent pas de vu, j'ai lancer une corde exprès qui sort du champs d'invisibilité, pour qu'ils nous suivent...

- Dis moi, Shogun ? Depuis combien de temps as-tu Fantôme ?

-Au est bien...Sa doit faire...4 ans à peu près.

- Toi qui contrôle l'air qui nous entoure, pourrait tu nous donner des vents favorables car nous somme en besoin de temps et le climat ne nous avantage pas.Me dit Athenir.

-Ma foi...Ce n'est pas une mauvaise idée.Je vais essayer.

Je me concentrais et réussi à nous donner un vent favorable.

-Hé voilà le travail !

Je ferais bien de rappeler Fantôme, il me semble que quelque chose le perturbe beaucoup plus que Kyroryu, sinon il ne ce serait jamais excuser...

-Fantôme, retourne dans mon katana runique te reposer.

Il sembla accepter avec joie.

Étrange...

Je vis tomber Azraël, mais je ne suis pas parvenu à la retenir. Heureusement, elle retomba sur Teop.

Mais une ombre gigantesque passa au-dessus de nos tête...

Je reconnu tout de suite notre trouble fête. Un mage de l'air sur une chauve-souris géante ! Voilà se qui perturber à se point Fantôme ! A ses habits, je reconnu immédiatement son grade. Deux niveaux au-dessus de moi, voilà pourquoi il n'a eu aucun mal à contrer mon sort ! Par reflex acquis lors d'une mission, je regarda brièvement en bas. Au nom ! La même tactique que dans ma mission passé !

Une multitude d'archer probablement gobelin,à en juger l'état de leurs armes, se préparer à nous envoyer une volé.

-Attention ! Tous à plas ventre !

Mes compagnons jugèrent bon de suivre mon conseil.pendant se temps, je rassembla l'intégralité de mon énergie pour envoyer à se mage un souffle suffisamment puissant pour le repousser. J'y parvins tant bien que mal, mais il fi une embarder et ficha le camps. Je sentit mes forces m'abandonner et je m'écroula sur les épaisses écailles de Kuroryu. Je sombra dans le coma et ne vit que mes compagnons crier et les flèches voler. Kuroryu rugie et s'écrasa dans la sombre forêt, suivie de prêts par teop.

alors que la nuit tombait, un vent nous avait perturbé. Un vent fort, anormalement fort et tout aussi soudain que sa force était grande. Cela aurais pût être un orage d'altitude, vent turbulent qui ne sévit que dans les hauteurs céleste et m'étant assez inconnu vu que je n'ai pas l'habitude de voyager beaucoup par les airs.

cela aurais pût, mais s'en fut tout autrement. Alors que nous avancions dans des couches céleste clémentes, l'orage qui se trouvait en haute atmosphère nous poursuivit et un cavalier du ciel nous prit pour cible. Ce cavalier chevauchant son familier, une grande chauve-souris, parvint avec l'aide d'une escouade d'archer perché près de la cime des arbres a mettre à mal Kuroryu, nous forçant au crash.

Alors que nous tombions tous de Kuroryu blessé, Je fit appel à mon pouvoir pour ralentir ma chute. En effet, n'ayant pas de familier ailé, Je tombais bien plus vite que les autres. La propriété du feu que je tentait de focaliser était celle de la non gravité du feu, en effet, des quatre éléments seul le feu n'est pas soumis à l'attraction terrestre.

Bien que faiblement ralenti par ma tentative, je m'écrasait lamentablement dans une mare d'eau trouble. Je du chercher pendant quelques instant mon collier réservoir qui avait glissé de mon coup lors de ma chute.

Quand je me relevait, je vit, dans le brouillard et la pénombre, Azraël renvoyer Teop, son dragon et familier.

- Athenir ! Comment vas-tu ? me demanda-t-il
- Je pourrais aller mieux, mais rien n'est cassé.lui répondit-je. Il faut retrouver Shogun et Hisato.

Sur ces mots, je sortit de mon plan artificiel des torches spéciale (de ma fabrication, et qui valent un demi millier de pièces d'or chacune dont environs 400 pièces d'or rien que pour les matériaux utilisé) que j'allumais éclairant d'une grande lumière pour ceux qui les porte ou sont en lien avec les porteur de torche. ne trahissant pas la position des porteurs de torche et désavantageant tout ceux qui n'en portent pas.
(donc tout lien sauf par le sol)

Je fit donc don d'une des torches à Azraël qui avec cet avantage parvint a blesser la monture de notre adversaire, un capitaine Erinais (moi, Shogun et Azraël ayant le grade inné de sergent dût à nos pouvoir magique. tandis que Hisato, étant maître de Feu, a le grade de capitaine et de ce fait, dirige l'expédition).

- Elle va tomber, mieux vaut ne pas rester ici ! me dit-il.

même avec tout nos avantages , nous n'étions pas en mesure de pouvoir offrir une défense acceptable face à un capitaine et ses archers.

- On ne peut pas les laisser derrière nous mais nous ne pouvons pas rester car nous somme attendu ailleurs. murmurait-je à mon seul compagnon pour l'instant. Il faudra les vaincre rapidement ou fuir sans demander notre reste, le terrain ne nous avantage pas face aux archers goblins car ils savent voir dans la nuit de cette forêt comme nous avec nos torches, avec le seul avantage qu'ils peuvent utiliser leur deux mains et nous non. (...)Quel poisse, et de plus, que font ils aussi loin dans la forêt? La guerre serait donc si proche de Celobia?