La beauté est un piège

M'étant caché dans la foule, mon superbe masque sur le visage, j'attendais qu'Hisato vienne me chercher. Les gens se demandaient tous ce que voulaient ce fou au cheveux de sang et à la voix assuré et sombre. La curiosité était passé par dessus la peur.

Lorsqu'il sauta de la scène pour venir me chercher, je me constituai un regard apeuré et hésitant. Tout marchait tellement bien, que si j'avais pu... Je serais encore morte de rire. Mais au lieu de cela, quand je me retournai vers le public, le visage dénué de la glace, je leur fit mon visage le plus euphorique et heureux. Ce qui fut assez étrange, je pense, puisque le fait d'être euphorique était plus que rare, chez moi.

Enfin bref, toujours est-il que je sondai la foule en délire... Et repérait dans le fond de la queue un homme encapuchonné. Son visage était caché, mais ses yeux brillaient d'une lueur malsaine.

J'écoutai encore Hisato expliqué son tirage au sort, qui n'était qu'une étape de plus dans la supercherie. Quand les gens se retournèrent pour faire la queue, je lui soufflai :

- Je crois que je l'ai repéré.. Espérons qu'il tombera dans le piège.

Et mon voeux fut exaucé, puisqu'il nota un nom (faux bien sûr) sur un bout de papier qu'il glissa dans une des urne..

- Cependant, il y a de fortes chances que ce nom soit faux.. Ton idée cependant n'est pas du tout mauvaise. Je pense qu'il ne se doutera de rien. Je pense que ces voleurs ne sont pas très haut placés, leur esprit d'Analyse n'est donc pas ce qu'il y a de plus développé chez eux.

Une fois le tumulte terminé, les papiers déposés dans les urnes, nous les récupérâmes et retournèrent dans la forge.
Il fut très facile de retrouver le bulletin du voleur, qu'Hisato avait marqué. C'était un nom tout ce qu'il y a de plus commun, tellement commun qu'il était certain que c'était un faux.

- Qu'est ce que c'est que ce truc... Fis-je, en apercevant un espèce de fil sur le papier.

C'était un cheveux. Un cheveux !

- Tu crois que tu peux en tirer quoi que ce soit ?

- Regarde bien, enfin... écoute moi bien... la trace de la peinture montre bien que ce n'est pas un frottement mais plutôt un giclement qui vas de la pointe à la racine, donc une goute qui est tomber dessus! M'expliqua Hisato.
- D'accord.. Donc il faudrait trouver une tente, ou une toile tendue, qui aurais été mouillée, ou peinte il n'y a pas longtemps.. Il n'a pas plu depuis plus d'une semaine, on exclu donc l'idée de mouillé, il nous reste encore l'hypothèse de la peinture. Je te laisse terminé ton analyse, je sors chercher ça. Je serais dans le secteur, si tu as besoin de moi. Fis-je en sortant de l'atelier.

Nous n'étions pas jour de marché, ce qui, heureusement, réduisais mon champ de recherche.
Je vis, sur la devanture d'un marchand, un nouvel auvent apparemment encore humide de peinture. Vérifiant que je n'avais aucune trace de sang sur moi, je m'avançai vers lui, un léger sourire au lêvres

- Excusez moi.. Je cherche mon... Mon frère. Il porte une grande capuche noir, et je ne le retrouves pas. Pourriez vous me dire si vous l'aviez vu ? Fis-je de l'air le plus innocent du monde.
- Nan pas vu. Me répondit d'un ton bourru le marchand.
- Mais... Je le cherche depuis plus d'une heure ! S'il vous plait.. Aidez moi.. Renchéris-je, une fausse larme sur la joue.

L'homme se retourna, et, visiblement troublé par mon faux air triste, soupira et me dit :

- J'l'ai vu vot'frère. Mais l'a l'air louche. D'ailleurs, l'a pesté cont'mon nouvel auvent.. L'avait de la peinture partout !
- Vous a-t-il dit où il allait ?
- L'a dis qu'il voulait aller au palais.. Faire quequ'chose d'important et de secret.
- Je vous remercie du fond du coeur ! Dis-je avec un air le plus heureux du monde.
- D'rien ma ptite dame.

Courant à travers les petites rues rejoindre Hisato et lui dire ce qui se passait, je vis mon homme foncé vers le palais justement.
Interdite, je m'arrêtai et l'observait. Pourvu qu'il ne me voit pas... Mon voeu fut exaucé, il ne leva pas le tête.

- Hisato, il va au palais !

Notre homme se diriger vers le palais, je me demande bien ce qu'il a à travers la tête s'il passe par la porte d'entrer il vas se faire rejeter par les gardes... Seul des serviteur de sa majesté peut entrait dans le palais!

Azraël et moi courront en sa direction afin de le capturer, de toute façon il sera impossible pour lui de nous échapper. Je ralentit et avance tranquillement. Le soldat de l'enter viens pour arrêter notre proie.

-Stoppez-vous là! quelle est la raison de votre visite?
-Je viens voir la princesse.
-La princesse n'a vite que de ses loyaux sujets. des inconnu qui n'ont pas de permis ne peuvent entrer.
-Il est avec moi, dis-je.
-Monsieur Kironoko? que faite vous là?
-cette personne est mon inviter. et je suis en droit d'enter!
-bien sur.

Notre cible est piégé. Azraël et moi le tenons chacun un bras et tout deux le menaçons de notre dague [HRP: chaque serviteur de la princesse de Célobia reçois comme cadeau de bienvenue une dague.[/HRP]
Nous amenons notre "inviter" dans mes compartiments et nous le fixons à une chaise.

-Bon qui est-tu au final?

J'avoue que l'idée qu'Hisato a eu ne m'a pas traversé l'esprit... Toujours est-il qu'elle a formidablement bien marché.

- C'est bien un débutant. Les autres savent que la Princesse ne reçoit que sur invitation, et encore. Fis-je à Hisato pendant le trajet.

Notre ''ami'' était pétrifié.

- Bon qui est-tu au final ? Demanda Hisato lorsque nous l'eumes attacher à une chaise dans son appartement.
- ...
- Mon dieu ça va pas recommencer ! Renchéris-je avec un soupir. Ne me dis pas que tu souhaites de faire torturer ? Dans un palais en plus ? Je te conseillerais de parler. Peut-être que ça fera ton salut.
- ...
- Donc tu es stupide.

Me détournant quelques instants de notre homme, j'allai jusqu'à la porte congédier notre valet, qui, obstiné, restait devant la pièce. Pas de témoins, si ça tournait mal pour notre voleur.

- Qui te dirige ? Essayais-je
- ...

Aussi muet qu'une page de livre, il blêmit. Ses supérieurs l'avaient donc interdit de parler... Mais lui avait sans doute une peur monstre de nous. Cherchant un compromis, je me tournai vers Hisato :

- Il me semble que ce jeune garçon ne veut pas parler. Tu as une idée pour y remédier ? Personnellement, je risque d'être très violente s'il s'obstine à rester muet.

Il n'y a pas que la violence tu sais... la peu peut suffir pour faire parler quelqu'un.

Je me tourner ensuite vers notre homme.

J'ai une bonne nouvelle pour toi! Tu vas battre le record de saut à l'élastique sans élastique quand penses-tu? après tout, le palais a une hauteur de 220 mètres...
Une belle mort! En plus tu voie mon amie avec ses humeurs de tueuse. C'est une vrai sadique... tu sais quoi? elle contrôle le temps. Un peu de retour en arrière histoire que tu voie d'en bas ta propre chute tu ne pense pas?

Je ne chercher pas qu'il me dise tout, je n'aller pas lui laisser le choix en si bon chemin. Je prend la chaise et porte notre gars jusqu'au jardin.

Bon Azraël une petite séance de suicide?

- Bon Azraël une petite séance de suicide ?
- Avec plaisir ! Lançais-je avec un sourire.

Autant notre ami était blême, autant il est devenu carrément vert. La vue du saut qu'il allait peut-être faire l'a fait paniqué à un tel point qu'il s'est mis à trembler de tous ses membres.

- Oh, tu commence à comprendre ? Serais tu enclin à nous répondre ? Fis-je, assez fasciné par sa réaction.
- ...

Autant dire qu'il était bien suicidaire. Posant une main suffisamment lourde sur son épaule, je me tournai vers son visage, et lui murmurai :

- Es-tu donc tellement attaché à ton patron, pour que devant une mort affreuse, et surtout bien douloureuse, tu ne dises rien ? Que t'a-t-il fait pour que tu le protèges à ce point ? Je pense qu'il ne le mérite pas...
- C'est faux ! Cria le voleur d'une voix enrouée.
- Ah, ça ressemble à quelque chose. Et la suite ? Fis-je en m'éloignant un peu, en regardant Hisato.
- Je ne dirais rien...
- Si tu as ouvert ta bouche pour nous dire cela... Tu vas quand même plonger.

Avant que l'on ai dans le futur voir la belle scène d'acrobatie de notre voleur, une idée me vin.

Quelle dommage que je dois louper la scène de la chute... Enfin bon... Azraël tu l'amène à la forge juste après que vous avez fini s'il te plait.

J'allai donc à ma forge et descendu au labo. Je commença à déplier ma table de prélèvement de sang. C'est avec cette machine que je prend le sang des honneur sans le salir. Aucun contact avec l'air donc aucun mélange avec je ne sais quelle produit.

La table prête, j'allai vers le coin où j'avais confectionné la fiole miracle. Elle n'était pas prête... Je n'avais pas encore ajouter mon élixir de vérité. Fait maison, un poison qui dévoile tout se que le voleur connait. Et puisque la formule est "maison", il est impossible qu'il soit vacciner contre ceci. héhéhé.

Nous aurons bientôt la lumière sur cette histoire.

- Quelle dommage que je dois louper la scène de la chute... Enfin bon... Azraël tu l'amène à la forge juste après que vous avez fini s'il te plait.
- Pas de soucis. Fis-je sans posant plus de question.

Me tournant vers mon muet ami, je souriais en prononçant l'incantation du voyage dans le futur. Dans un fouillis de couleur, nous atterîmes à l'endroit exact où nous étions, mais quelques instants plus tard.

Je me voyais, poussant avec désinvolture la chaise, qui s'écroula du haut du palais, dans un hurlement de peur. Lorsqu'elle toucha le sol, un bruit aussi puissant qu'une explosion se fit entendre. Zoomant sur la victime, nous vîmes, moi avec sadisme, lui avec horreur, qu'il était démembré, et ensanglanté. Toujours vivant. Accélérant un peu, je me vis descendre, et murmurer quelque mots au voleur en lui tranchant ce qui lui restai de bras.

Ne voulant pas lui en montrer lui, nous revinrent vers le présent.

- J'espère que ce tu as vu t'a plu. C'est ce qui risque de t'arriver... Si tu ne fais pas attention.

Le détachant, je récupérai la corde qu'il l'avait attaché à la chaise, pour lui nouer les mains derrière son dos. Trop fort, mais c'était le but.
L'attrapant par les épaules, je l'amenai, comme Hisato me l'avait demandé, jusqu'à sa forge, en prenant soin de bander les yeux de notre ami pour qu'il ne reconnaisse pas la route.

- Hisato, c'est bon c'est fait.

- D'accord... On va voir ça.

Prenant de force le poignet de notre supplicié, j'y appliquais deux doigts. Son poul, comme affolé, battait à tout rompre. Il mît plus de 5 minutes à se calmer, pour atteindre un rythme plus lent qu'habituel.

Je me tournai vers la machine et stoppai le drainage. Lançant un coup d'oeil à Hisato, je retirai le foulard trempé. Une odeur âcre et ecoeurante s'en echappai.

- Qui es-tu ? Tentais-je.
- Je m'appelle Sian Suzako. Me répondit celui-ci d'une voix monocorde.
- Hisato, cette potion est géniale ! Lançais-je avec étonnement.

Le dénommé Sian me regarda d'un air vide. Wouah.

- Hum... bon... Comment s'appelle ton chef ?
- Personne ne sait son véritable nom. On l'appelle Darkness.
- Original...

puisque notre homme était disposer à nous répondre, je commença ma série de question:

-Vous changer de campement toute les semaines, où est-elle actuellement?
-notre dernier lieu était dans le labyrinthe de rocher, mais ont changera d'ici deux jour.
-y a-t-il un code pour pénétrer votre campement?
-Non aucun, mais il faut être tatoué du clan pour pouvoir y pénétrer et seul l'assistant au chef connait la manière pour faire le symbole, il sont tous unique pour chaque, il se rappellera de nos noms dès qu'il nous verra même après tant d'année. On suppose que ces symbole est une sorte de code qui indique notre nom.
-Mhh ça n'arrange pas notre affaire... J'ai une idée. Est-ce que tu est connu dans ton clan?
-Non à peine c'est à se demander si j'appartiens bien au clan..
-bha voila notre solution! je prendrai ton identité et puisque personne ne te connait réellement je serai comme un nouveau sous un autre nom! Le seul problème c'est que le temps que je copie tes tatouage, les deux jour serons dépasser depuis longtemps...
Tu n'aurai pas une idée Azraël par hasard?

- Bha voila notre solution! je prendrai ton identité et puisque personne ne te connait réellement je serai comme un nouveau sous un autre nom! Le seul problème c'est que le temps que je copie tes tatouage, les deux jour serons dépasser depuis longtemps...
Tu n'aurai pas une idée Azraël par hasard ? Me demanda Hisato.
- Hum... Il faudrait trouver un moyen de fixer le motif du tatouage, d'une manière ou d'une autre...

M'approchant de notre homme, toujours un peu dans les vapes, j'effleurai le tatouage. Il était légèrement en sur-épaisseur...

- On pourrait peut-être faire... Un moule ? Avec de la glace, par exemple. Je pense que ça peut marcher... Ce sera un peu plus rapide... Il suffira de l'encrer pour faire apparaître tous les traits. Le reste, ce sera de la copie, tout bêtement.

Posant les doigts sur le visage de notre ami, je le recouvrais d'une épaisse couche de glace, laissant tout de même un trou pour qu'il respire. Il ne réagit pas. Réchauffant quelque peu les côtés du ''masque'', je le retirai et examinai le dessin apparut.

- Mais rassures moi sur un point. Tu ne compte tout de même pas te tatouer définitivement ce truc sur le visage ? Demandais-je à Hisato, en me retournant vers lui. De plus, si tu arrives à te faire ce tatouage, moi, il faudra trouver une solution pour me faire entrer.

Pour ton entrer il n'y a aucun problème, les têtes des anges au servisses de sa majesté sont toujours à un bon prix, la seul chose qui faut qu'on face attention c'est qu'il ne faut pas que tu te face tuer...

Je vers vers mon armoire et y sort un viol contenant à l'intérieur de l'encre qui me sert pour mes tatouage.

Ce qui est du tatouage, je me servirai de mon encre et ainsi je pourrai le mélanger au sien et donc ne pas se faire avoir au cas où il y aurai une encre spécial... Et puisque c'est une encre de mon sang, je peut la contrôler à n'importe quelle moment.

Je m'installe sur la table, et tant ma fiole à Azraël

C'est quand tu veux.

- C'est quand tu veux. Me fit Hisato.

J’acquiesçai, et récupérai la fiole anormalement chaude. Une lourde odeur de sang s'en échappa.
Prenant un espèce de scalpel, je creusai un peu plus les creux imperceptibles qu'avaient crées le moulage. Ceci fait, je laissai couler le liquide d'un noir rougeâtre, qui, logiquement, stagna dans les espaces plus profonds.
Posant les doigts un peu plus près de ceux-ci, je refroidissais un peu encore le masque, que je puisses le manipuler sans que l'encore coule.

- Respire un bon coup, je sais pas si l'odeur sera super. Fis-je en appuyant le moule sur le visage d'Hisato, tout en le réchauffant un tout petit peu.
- Combien de temps doit-il rester ainsi avant que l'encre ne sèche ? Lui demandais-je.

L'odeur était vraiment désagréable. Un mélange ecoeurant entre le sang et l'encre.

- Qu'est ce que vous m'avez fait ?! Cria notre ami, enfin sorti des vapes.
- Oh rien. Tu nous as juste dit ce qu'on voulait savoir. Tiens le masque, je vais m'occuper de lui. Fis-je à Hisato en m'approchant de notre voleur.
- Quoi ?! C'est pas possible !
- Mais si. On va d'ailleurs te renvoyer au pays des rêves, j'ai pas envie de t'entendre brailler. Fis-je en lui assénant un coup de poing qui le fit tomber au sol.

Azraël commençait à me placer le moule sur le visage. L'odeur du sang m'exciter les sens. Une tel odeur, c'est pire qu'une drogue! Il ne faut surtout pas que je sente plus cette odeur sinon je vais finir par le lécher...

Peu de temps et voila déjà que Azraël me confie la tâche de garder le bloque sans son aide. Pour quelle raison? Je l'ignore, je ne fois rien à cause de l'encre... Mais par contre j'entendais notre inviter hurler. Elle m'aurai laisser en plan pour s'amuser? quelle honte, enfin, je peut la comprendre...

Et sur le coup, j'ai l'impression de manquer quelque chose... quelque chose de cruciale... Mais oui! Si ça se trouve le tatouage ne se termine pas qu'au visage.

Il fallait que je la prévienne mais comment? J'ai une idée! je fait faire jaillir du feu d'un coin du labo pour lui attirer l'attention. Et après je graverai à l'aide du feu moin message sur la plaque à côté.

Alors... Vé-ri-fi-qu'il-na-pas-d'au-tre-ta-tou-age-tu-a-ca-rte-blan-che.

j'espère qu'elle va pas en profiter pour... non, non il faut pas que j'y pense...

Pendant que j'étais en train d'observer ma victime au sol, une odeur de brûlé attira mon attention.
Des lettres étaient gravés en caractère incandescent disant...

'' Vérifie qu'il n'a pas d'autre tatouage tu a carte blanche.''

C'était Hisato, preuve en est des multiples mouvements de la main qu'il avait de libre. J’acquiesçai, et m'agenouillai près du corps inanimé du voleur.
Hum. Déshabiller un homme inconscient avait quelque chose de scabreux, mais qu'importe, même Hisato ne me voyait pas. Je me demandai quelque instants s'il fallait déchirer, ou carrément retirer proprement ses vêtements. Je balayai cette idée d'un mouvement de tête. Quelle idée !
Attrapant avec force son pull, je l'envoyai valser quelque mètres plus loin, manquant toucher Hisato, toujours en train de se tatouer. Pour un voleur, notre ami n'était pas bien musclé, mais BREF. Il n'avait rien ni sur le torse, ni sur les bras ou le dos.
Soupirant, je fis :

- Et pourquoi je dois déshabiller ce mec comme si de rien n'était ? Bon dieu, j'espère qu'il va pas se réveiller...

J’arrachai par la même son pantalon, qui vola encore près d'Hisato, si bien que ce voleur se retrouva torse nu, ses bottes toujours aux pieds. Rien sur les jambes... Rien sur... Oh !

- Il a un truc bizarre sur la cheville... Un tatouage ? Fis-je en m'approchant un peu plus.
- MAIS QU'EST CE QUE VOUS FAITES ? Hurla l'homme en se débâtant.
- Il manquait plus que ça.

Tandis qu'il essayait de se relever, je lui fis un croche pied, et cette fois, lui donnait un coup de pied à écraser un morceau de granit. Qu'il ose encore se réveiller !
C'était un tatouage, mais personnel cette fois. Enfin je pense. Posant les doigts sur sa cheville, je recommençai ma méthode de moule, et m'éloignai pour le poser sur la table.

- Bon mission accompli. Ne m'obliges plus à tripoter un mec évanoui !

Le moulage était enfin terminer...

Alors à quoi je ressemble? Cette encre durera encore 10 jour. Donc il ne faut pas tarder...
Où avait-il dit que son camps était?

Sans attendre une réponse, je pris les vêtement qu'Azraël avis mis un peu partout.

Mhhh il est un peu petit... je vais devoir les refaire à ma taille...

Bon Azraël Le temps que je refasse les vêtements à ma taille, tu pourrai aller me chercher des minerai sanguin s'il te plait? Je vais après créer une épée similaire à la sienne, mais avec la même résistance que ma faux...

Je commença à sortir mes outils de tissages et commença la confection de mon costume.